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Conclusion

      Nous avons donc vu que les bateaux de la Volvo Ocean Race, à savoir le VOR70 et plus particulièrement le VOR 65 sont, on peut l'affirmer, des bateaux d'exception.  
Nous avons vu que sa coque planante large le fait glisser sur l'eau, que ses bords relevés servent à l'empêcher de dériver, ainsi que l'étrave inversée. Et également que les voiles pouvaient générer une force phénoménal.
Ensuite, la quille pendulaire permettait au bateau d'optimiser au maximum cette force, bien que celle du VOR 65 ne soit pas la quille la plus performante. Nous avons aussi prouvé son efficacité par notre petite démonstration.
Puis nous avons revu l'histoire des matériaux de construction des voiliers, pour mieux comprendre pourquoi la fibre de carbone est idéal. Enfin, nous avons décortiqué comment la fibre est posée et montée pour optimiser ses performances au maximum. Pour finir nous avons découvert pourquoi ce matériaux composite est si résistant.
Nous avons aussi eu la chance d'interviewer Franck Cammas, le vainqueur de la route de Rhum et bien d'autre.
Nous nous sommes rendu compte au cour du TPE, notamment grâce Franck Cammas, que le VOR 65 n'est finalement pas le bateau monocoque le plus performant. Ce titre revient à son grand frère, le VOR 70 (5 pieds plus long).
Ils ont été abandonnés, nous l'avons vu, pour le VOR 65 car ce dernier est malgré ses performances un peu moindre, beaucoup plus sûr ce qui n'est absolument pas négligeable vu le nombre de jour que ces bateaux passent en mer sans escale. La monotypie rend la participation bien plus facile d'un point de vue financier. La course est aussi plus palpitante du fait que les voiliers ont au coude à coude et seul les performances de l'équipage importent.
De plus il est important de noter que les monocoques ne sont pas le type de voiliers les plus rapides, et de loin. 
le voilier de Franck par exemple, avec lequel il va courir la coupe de l'amercica, "vole" sur des foils ce qui réduit la trainée hydrodynamique à presque rien.
Pour la petite histoire, le record de vitesse à la voile sur l'eau est détenu par le Vestas Sailrocket 2, avec une vitesse sur 500m de 121.1 km/h (65.45 nœuds), et une pointe à 68.01 nœuds sur une seconde. Avec leur moyenne de 25 nœuds, les VO sont loin derrière.



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